« Quel gâchis ! » Martin Pochon, frais émoulu de l'ECAM (une école d’ingénieurs) de Lyon, ne peut réprimer son étonnement. Comment accepter de voir un fleuve puissant traverser des paysages brûlés par le soleil ? Comment concevoir que, près d'une rivière, la terre ne soit ni irriguée ni cultivée ? C'est pourtant le cas des rives du Chari à Sahr, dans le sud du Tchad....

